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     Jean Rochefort

     

    Jean Rochefort est un acteur français, né le 29 avril 1930 dans le 20e arrondissement de Paris et mort le 9 octobre 2017 dans le 14e arrondissement de Paris.

    À l'instar de ses amis de la « bande du Conservatoire » (dont font partie notamment , Jean-Paul BelmondoClaude RichBruno CremerAnnie Girardot ou Françoise Fabian), Jean Rochefort s'est peu à peu imposé comme une figure du théâtre, de la télévision puis du cinéma français dès les années 1960. Reconnaissable à sa voix chaude, à sa moustache et à un style de jeu caractérisé par le flegme et l'ironie, il a joué dans cent treize films et trente-sept téléfilms, jusqu'à son dernier rôle dans Floride, en 2015.es, notamment aux côtés de Belmondo dans CartoucheLes Tribulations d'un Chinois en Chine ou L'Héritier, il devient un acteur de premier plan à partir des année 70. Il s'installe au sommet de l'affiche de nombreux films français notables, parmi lesquels Le Grand Blond avec une chaussure noireL'Horloger de Saint-PaulJean-Pierre MarielleUn éléphant ça trompe énormément et sa suite, Nous irons tous au paradisLe Crabe-tambourTandemLe Mari de la coiffeuseRidicule, ou encore Le Placard. Alternant des rôles dans des films grand public et des films d'auteurs, il devient une figure emblématique du cinéma français. C'est l'acteur fétiche d'Yves Robert et de Patrice Leconte.

    D'abord voué aux seconds rôle

    Plusieurs fois récompensé, Jean Rochefort remporte notamment le César du meilleur acteur dans un second rôle pour Que la fête commence en 1976 et le César du meilleur acteur pour Le Crabe-tambour en 1978, puis reçoit en 1999 un César d'honneur, couronnant l'ensemble de sa carrière.

     

    Jean Rochefort

     

     

    Biographie

    Jeunesse

    Né dans le 20e arrondissement de Paris Jean Rochefort est issu d'une famille d'origine dinannaise. Son père Célestin est fils de cocher; autodidacte, il passe le certificat d'études, est embauché à la Banque de France à 16 ans et termine sa carrière comme cadre supérieur dans l'industrie pétrolière. Sa mère Fernande Guillot est comptable. Jean Rochefort grandit à Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale (à la Libération, il assiste au spectacle des femmes tondues, ce qui lui donnera une vision noire de la nature humaine), puis à Vincennes, Rouen et Nantes.

    Enfant rêveur, il fait des études médiocres au lycée Corneille de Rouen, au collège de Cusset et au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés Il désespère son père, à l'opposé de son frère aîné Pierre qui intègre Polytechnique et devient ultérieurement ingénieur général de l'armement.

    Jean Rochefort passe tous ses étés à Dinan. Après la guerre, la famille Rochefort achète une résidence secondaire à Saint-Lunaire. Jean Rochefort reste toute sa vie attaché à cette région. En 2000, il achète une maison à Saint-Briac.

     

    Jean Rochefort

      

    Le Conservatoire et la compagnie Grenier-Hussenot

    Son père envisage pour lui une carrière de comptable. En 1948, à la suite d'une mésentente passagère entre ses parents, Jean et sa mère sont contraints de rester

    en Bretagne après les vacances estivales. C'est durant l'hiver de cette année-là que l'ennui le lie à Pierre Besson, le fils de la marchande du bazar qui le persuade de prendre des cours de théâtre à Nantes, puis l'année suivante, de venir à Paris suivre à dix-neuf ans les cours à l'école de la rue Blanche. Selon d'autres sources, c'est en 1947 qu'il se prend de passion pour le théâtre et le métier d'acteur, à l'issue d'une représentation de la pièce Liliom de Ferenc Molnar, à laquelle il assiste avec sa mère à la Gaîté-Montparnasse. Son père accepte de l'inscrire au conservatoire municipal de Nantes, où il habite, qui ne forme que des comédiens amateurs.

    Il entre ensuite au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris où il a pour condisciples Jean-Paul BelmondoAnnie GirardotClaude RichJean-Pierre MarielleFrançoise FabianPierre VernierMichel BeauneBruno Cremer. Ils forment la « bande du Conservatoire ». Jean Rochefort apprend, le 30 juin 1953, qu'il n'est pas admis à concourir. Il en est profondément affecté.

    Jean-Pierre Marielle l'incite à passer une audition à la Compagnie Grenier-Hussenot, au sein de laquelle il est admis. Il y reste sept ans, appréciant « l'esprit d'avant-garde comique et la recherche de spectacles de qualité ». Il y est remarqué pour son aisance à jouer tant le drame que la comédie. Rochefort y fait la connaissance d'Yves Robert et d'Hubert Deschamps, avec lesquels il se produit fréquemment au cabaret. À ces occasions, il croise Jacques BrelGeorges Brassens et la chanteuse Barbara, avec laquelle il a une brève liaison. Par son entremise il fait la connaissance de Philippe Noiret, qui se produit comme elle au cabaret L'Écluse Il deviendra son ami.

     

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    Théâtre et télévision

    Jean Rochefort commence sa carrière au théâtre à l'âge de vingt-trois ans, dans Azouk d'Alexandre Rivemale. Il joue essentiellement des auteurs contemporains : François BilletdouxDürrenmattRené de ObaldiaArthur MillerJean GiraudouxPeter UstinovRobert Hossein. En 1964, Delphine Seyrig, l'impose comme partenaire dans Cet animal étrange, adaptation de nouvelles de Tchekhov par Gabriel Arout, mise en scène par Claude Régy. Le spectacle est un succès critique et public. L'année suivante, il se rend à Londres avec Seyrig auprès du dramaturge Harold Pinter. Celui-ci leur accorde les droits de deux de ses pièces, La Collection et L’Amant, qu’ils interprètent, toujours sous la direction de Claude Régy. Au contact de Delphine Seyrig14 il prend conscience de son capital de séduction : « Quand Delphine m'a fait savoir qu'elle désirait que je sois son partenaire dans des nouvelles de Tchekhov, je n'en revenais pas, moi le clown faux derche à la moustache récente. Le jour de la première, à ma grande surprise, le public n'a pas ri alors que cette beauté d'actrice tombait amoureuse de moi ! J'étais devenu le mâle qui donnait confiance ».

    En 1976 il déclare : « Au théâtre (...) je n'ai à rougir de rien. En vingt-cinq ans, il n'y a pas une pièce que je renie, car je n'ai jamais eu à accepter quelque chose qui ne me plaisait pas». Ses apparitions au théâtre s'interrompent pendant la décennie 70, parallèlement au succès grandissant qu'il connaît au cinéma. Il retournera sur les planches à partir de 1982 et jouera notamment en 1998 dans « Art », la pièce de Yasmina Reza.

    Il fait ses débuts à la télévision dès 1957 en jouant notamment sous la direction de Stellio Lorenzi (La Dame de pique, d'après Pouchkine en 1958), Marcel Bluwal (Le mariage de Figaro en 1961), Claude Barma (La nuit des rois d'après Shakespeare en 1962), Yannick Bellon (La plaie et le couteau, Charles Baudelaire en 1967) ou Pierre Dux (Le Misanthrope en 1971). Il y reviendra à partir des années 80 et tiendra notamment l'un des rôles principaux dans la série Le Comte de Monte-Cristo de Josée Dayan en 1998.

     

    Jean Rochefort

     

    Cinéma 

    En 1963, Jacques Deray lui confie l'un des rôles principaux dans un film policier : Symphonie pour un massacre. C'est également son premier rôle dramatique. Entre 1964 et 1966, il incarne François Desgrez, chef de la police et soupirant de Michèle Mercier dans trois épisodes de la série Angélique de Bernard Borderie, qui sont de grands succès populaires, attirant de 2,2 à 3 millions de spectateurs. Il considère que cette série est le premier élément de sa carrière qui l'ait réellement fait connaître du public. Il tourne deux autres comédies avec de Broca : Les Tribulations d'un Chinois en Chine en 1965, où il remplace Jean-Pierre Marielle comme valet de chambre de Jean-Paul Belmondo et Le Diable par la queue en 1969 où il incarne un aristocrate désargenté auprès d'Yves MontandMadeleine Renaud et Jean-Pierre Marielle. Ce sont deux nouveaux succès publics. Il retient de cette décennie la satisfaction d'avoir incarné en 1966 un réalisateur de télévision dans le premier film de fiction du photographe William Klein : Qui êtes-vous Polly Magoo ? Ce film lui fait découvrir « un auteur intéressant et un univers qui m'excitait beaucoup ».

    Jean Rochefort accède aux premiers rôles en 1968 dans une comédie d'Henri Lanoë où il a pour partenaire Macha Méril : Ne jouez pas avec les Martiens, puis dans Pour un amour lointain, un film d'Edmond Séchan. Il aborde le genre fantastique dans le premier long-métrage d'André Farwagi : Le Temps de mourir où il a pour partenaires Bruno Crémer et Anna Karina; le film obtient le prix Unicrit au Festival de Berlin 1970. Pour son rôle dans la pièce Un jour dans la mort de Joe Egg, il se laisse pousser une moustache, qu'il n'enlèvera qu'à deux reprises : en 1996, pour le film Ridicule, et en 2007 pour La Clé.

    Au cinéma, il obtient pour la première fois un rôle significatif en 1960 dans une production de propagande franco-soviétique réalisée par Marcello Pagliero, cinéaste communiste : Vingt-mille lieues sur la terre. Le tournage catastrophique, prévu pour durer trois mois, le contraint à rester onze mois en URSS. Il en parlera plus tard comme d'un film « à la gloire des tracteurs, des usines et des futurs Tchernobyl». Durant le tournage, il fait la connaissance d'Alexandra Moscwa, fille du ministre polonais des Postes et Télécommunications, qu'il épouse la même année. Le film n'a aucun succès en France.

    Il enchaîne plus de vingt films et une douzaine de téléfilms pendant la décennie 1960. Il tient des rôles secondaires dans plusieurs films de cape et d'épée qui sont de grands succès : Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit et Le Masque de fer, d'Henri Decoin, deux films avec Jean MaraisCartouche de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo. Les nombreuses séquences équestres du film éveillent chez le comédien une passion pour le cheval. Il deviendra éleveur et participera à des concours hippiques. Cette passion est coûteuse et l'incite à accepter de tourner des « scénarios lamentables (qui deviennent) après un coup d’œil à (son) compte en banque, tout à fait acceptables ». Il les surnomme « films-avoine ».

     

    Jean Rochefort

     

     

    L'annéee succès

    1973 marque un tournant dans sa carrière. En tournant Le Complot de René Gainville, il prend conscience des réels progrès qu'il a accomplis dans son travail de comédien. Bertrand Tavernier fait appel à lui peu après, en remplacement de François Périer, dans le rôle du commissaire Guilboud qui fait face à Philippe Noiret dans L'Horloger de Saint-Paul. Il considère que ce film a fait de lui l'acteur qu'il allait être.Par la suite. Il explique que le réalisateur, Bertrand Tavernier, lui a appris à se détendre face à la caméra qui, auparavant, l'impressionnait Toujours avec Tavernier, il incarne l'abbé Dubois dans Que la fête commence (1975), un rôle qui lui permet de remporter, à 46 ans, le premier César de l'histoire18. Le tournage lui permet de connaître Nicole Garcia.

    Il tourne en 1972 et 1975 dans le diptyque du Grand Blond (1972-1974) mis en scène par Yves Robert et dont la vedette est Pierre Richard. Le public est au rendez-vous avec 3,5 et 2,2 millions de spectateurs. Mais c'est avec Un éléphant ça trompe énormément en 1976 que Jean Rochefort rencontre le succès avec un rôle principal, succès confirmé l'année suivante avec Nous irons tous au paradis; les deux films attirent 2,9 et 2,1 millions de spectateurs et sont régulièrement programmés à la télévision. Il tourne également avec Michel Audiard (Comment réussir quand on est con et pleurnichard), Luis Bunuel (Le Fantôme de la liberté), Claude Chabrol (Les Magiciens et Les Innocents aux mains sales), Bertrand Blier (Calmos). Pour leur quatrième collaboration, Philippe de Broca lui propose le premier rôle de la comédie Le Cavaleur et Patrice Leconte l'engage au côté de Coluche pour son premier film Les vécés étaient fermés de l'intérieur, d'après les bandes dessinées de Gotlib. C'est un échec et le tournage laisse de mauvais souvenirs à l'acteur et au réalisateur, ce qui n'empêchera pas ce dernier de le réemployer dans sept autres films.

    En 1977, Pierre Schoendoerffer le sollicite pour incarner Pierre, le médecin dans son film Le Crabe-Tambour. Rochefort préfère jouer le rôle du commandant, qui lui vaudra le César du meilleur acteur en 1978. Le film obtient au total quatre prix et attire 1,2 million de spectateurs. En 1979, Yves Robert lui confie le premier rôle de Courage fuyons, au côté de Catherine Deneuve. C'est à nouveau un succès. Il tourne plusieurs films en Italie, essentiellement pour des raisons alimentaires (L'homme aux nerfs d'acier de Michele Lupo avec Lee Van Cleef et Mon Dieu comment suis-je tombée si bas ? de Luigi Comencini avec Laura Antonelli) et apparaît dans des productions américaines tournées en France (La Grande CuisineFrench Postcards).

     

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    Équitation

    Le grand-père paternel de Jean Rochefort fut cocher à Dinan. À la trentaine, au cours du tournage de Cartouche en 1962, l'acteur se découvre une passion pour les chevaux et l'équitation. Il devient éleveur et acquiert le haras de Villequoy à Auffargis dans les Yvelines. Il affirme avoir mis une centaine de poulains au monde. Nashville III est le premier poulain qu'il a fait naître

    Après Cartouche, Jean Rochefort fait partager sa passion à son ami Philippe Noiret, qui devient lui aussi passionné de chevaux. Le film Les Ripoux et sa suite en donnent un exemple. Ils apprennent ensemble à monter à cheval dans un manège en même temps que des enfants de douze ans qui se débrouillent mieux qu'eux, et se font ainsi réprimander par le moniteur pour leur faible niveau. L'amour des chevaux le rapproche aussi de Guillaume Canet, lui-même excellent cavalier, qu'il croise le week-end lors des concours hippiques. Rochefort souffle son nom au réalisateur Philippe Haïm, qui le fait débuter au cinéma sur le film Barracuda en 1997

    Sa passion équestre l'a amené à devenir consultant pour France Télévisions, pour qui il a commenté diverses épreuves équestres, dont celles des Jeux olympiques d'été de 2004 ainsi que la cérémonie d'ouverture et les Jeux olympiques d'été de 2008.

     

    Jean Rochefort

     

    Engagements

    • Jean Rochefort se dit « de droite avec une conscience sociale ». Dans un entretien avec Libération, en 2013, il explique : « J’ai le cœur à gauche, mais je ne peux être de gauche ». Il dit avoir été choqué par le tournage en URSS de Vingt mille lieues sur la terre, en 1960 : « en Russie, j’ai été étouffé de peur et de rire par cette bureaucratie, cette planification absurde. Qui m’a marqué à jamais ».

    • Jean Rochefort est le parrain du phare de la Vieille (Finistère)

    • En 2007, il s'engage dans le combat des Enfants de don Quichotte en faveur des SDF

    • En 2013, il devient membre du comité d'honneur de l'Alliance anti-corrida.

    • En 2014, il parraine l'association Agitateurs de rêves pour les arts du spectacle vivant.

     

    Jean Rochefort

     

    Vie priveé

    Le 9 juillet 1952, Jean Rochefort se marie avec Élisabeth Marguerite Marie Camille Bardin à Saint-Lunaire, dont il divorcera en février 1960. Plus tard cette même année, le 15 juin à Varsovie en Pologne, Jean Rochefort épouse Aleksandra Moskwa, dont il a deux enfants : Marie (1962) et Julien (1965), lui aussi acteur. Après 20 ans de mariage, il divorce et vit pendant sept ans avec Nicole Garcia dont il a un fils, Pierre Rochefort (né en 1981), acteur également. En 1989, à Raizeux, il épouse en troisièmes noces l'architecte et cavalière Françoise Vidal, de 20 ans sa cadette, avec qui il a deux enfants, Louise (1990) et Clémence (1992)

    Après avoir habité Mareil-Marly, il avait acheté une maison à Grosrouvre dans les Yvelines

     

    Jean Rochefort

     

    Fin de vie

    En août 2016, Jean Rochefort est hospitalisé à Paris pour « des douleurs abdominales ».

    Le 21 juillet 2017, il rend un hommage par téléphone sur Europe 1 à l'acteur Claude Rich, mort la veille. Se connaissant depuis le Conservatoire, ils avaient notamment joué ensemble dans Le Crabe-tambour, qui avait valu à Jean Rochefort le César du meilleur acteur. En 2002, il avait remis à Claude Rich un César d'honneur.

    Jean Rochefort meurt d'un cancer à Paris le 9 octobre 2017 à l'âge de 87 ans, alors qu'il était hospitalisé à l'hôpital Saint-Joseph Ses funérailles ont lieu le 13 octobre 2017 à l'église Saint-Thomas-d'Aquin. Il est inhumé au cimetière de Grosrouvre(Yvelines).

     

    Discographie

             2007 : voix du conteur pour le livre-disque Le       Silence  de       l'opéra de Pierre Créac'h

    •    2008 : voix sur la chanson L'Homme sans       trucage, présente sur l'album La Mécanique du   cœur de Dionysos : le personnage de Georges   Méliès ;

      • 2011 : Weepers CircusN'importe où, hors du monde, livre-disque auquel participe une quarantaine d'invités aux titres d'auteurs ou d'interprètes. Jean Rochefort y donne sa voix sur le titre Anywhere out of the World, la dernière plage de l'album ;

      • 2015 : Puisque vous partez en voyage, duo avec Sandrine Kiberlain, chanson du film Floride de Philippe Le Guay.,

     

    Puisque vous partez en voyage

    Jean Rochefort et Sandrine Kiberlain

     

     

    Jean Rochefort et Sandrine Kiberlain dans le film Floride

     

     

    Récompences

    • Prix du Syndicat de la critique 1970 : meilleur comédien dans une pièce de théâtre pour Un jour dans la mort de Joe Egg (1969).

    • 1re cérémonie des César 1976 : César du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame historique pour Que la fête commence (1975).

    • César 1978 : César du meilleur acteur dans un drame d'aventure pour Le Crabe-tambour (1977).

    • 1982 : Festival des films du monde de Montréal du meilleur acteur dans un thriller pour L'Indiscrétion (1981).

    • 1983 : Mystfest du meilleur acteur dans un thriller pour L'Indiscrétion (1981).

    • 1994 : Festival des films du monde de Montréal de la meilleure distribution dans une comédie dramatique pour Prêt-à-Porter (1994) partagée avec Marcello MastroianniSophia LorenJean-Pierre CasselKim BasingerChiara MastroianniStephen ReaAnouk AiméeRupert EverettRossy de PalmaTara LeonGeorgianna RobertsonLili TaylorUte LemperForest WhitakerTom NovembreRichard E. GrantAnne CanovasJulia RobertsTim RobbinsLauren BacallLyle LovettTracey UllmanSally KellermanLinda HuntTeri GarrDanny Aiello et Michel Blanc.

    • César du cinéma 1999 : Lauréat du César d'honneur pour l’ensemble de sa carrière.

      • Lauréat du Prix du Public du meilleur acteur dans un thriller dramatique pour L'Homme du train (2002).

      • Mostra de Venise 2002 : Lauréat du Lumière du meilleur acteur pour L'Homme du train (2002).

      • Prix Henri Desgrange de l'Académie des sports : 2006

     

    Jean Rochefort

     

    Nominations

    •  César du meilleur acteur pour Courage, fuyons

    • César du cinéma 1988 : César du meilleur acteur pour Tandem

    • César du cinéma 1980 : César du meilleur acteur pour Le Mari de la coiffeuse

    • César du cinéma 1997 : César du meilleur acteur dans un second rôle pour Ridicule

    • Bidets d'or 2006 : Bidets d'Or pour Akoibon

    • Prix Goya 2013 : Prix Goya du meilleur acteur pour El artista y la modelo

    • Gérard du cinéma 2012 : Gérard du rôle de sa vie

     

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    Décorations

     

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