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    Alexandre le bienheureux est un film français réalisé par Yves Robert et sorti en 1968.

     

    Alexandre le bienheureux

     

     

    Isabelle Aubret - Générique

    Le ciel, la terre et l'eau

     

     

    Alexandre le bienheureux

    Synopsis

    Alexandre, homme bon vivant et nonchalant, est cultivateur dans une ferme française de la Beauce. Cependant sa vie quotidienne est dirigée par La Grande, son ambitieuse mais néanmoins tyrannique épouse, qui le pousse à bout de force en lui imposant chaque jour une liste de travaux démesurée. Devenu brutalement veuf, il éprouve un grand soulagement et se sent libéré de son labeur : il décide de s'accorder un repos qu'il juge mérité, afin de prendre le temps de savourer la vie. Son comportement sème rapidement le trouble dans le petit village par l'exemple qu'il donne, et une partie des habitants décide de le forcer à reprendre le travail. Mais ils échouent, et Alexandre commence à faire des émules...

     

     

    Alexandre le bienheureux

     

    Alexandre le bienheureux - Thème

     

    Fiche technique

    Titre : Alexandre le bienheureux
    Réalisateur : Yves Robert
    Scénario, adaptation : Yves Robert, Pierre Lévy-Corti, d'après une nouvelle de Yves Robert
    Assistant réalisateur : Philippe Lefebvre
    Directeur de la photographie : René Mathelin
    Dialogues : Yves Robert
    Musique : Vladimir Cosma
    Générique : Jean Fouchet F.L
    Année : 1968
    Durée : 100 minutes
    Production : La Guéville ; Madeleine Films ; Films de la Colombe
    Genre : Comédie
    Date de sortie : 9 février 1968
    Pays : France

     

    Bande Annonce

    Alexandre le bienheureux

     

    Distribution

    Philippe Noiret : Alexandre Gartempe
    Françoise Brion : la Grande
    Marlène Jobert : Agathe Bordeaux
    Paul Le Person : Sanguin, père de famille nombreuse
    Tsilla Chelton : Madame veuve Bouillot, l'épicière
    Léonce Corne : Lamendin
    Pierre Richard : Colibert
    Jean Saudray : Pinton
    Pierre Barnley : le curé
    Marcel Bernier : Malicorne
    Bernard Charlan : le maire
    Madeleine Damien : Madame Boisseau
    Pierre Maguelon : Verglandier Marie Marc
    François Vibert : le beau-père d'Alexandre
    Jean Carmet : la Fringale
    Kaly : le chien
    Antoinette Moya : Madame Sanguin
    Marc Dudicourt : Monsieur Tondeur, le candidat au jeu télé
    Pierre Bellemare : lui-même

     

    Alexandre le bienheureuxAlexandre le bienheureux

     

     

     

     

      

    Le chien - thème 

     

    Alexandre le bienheureux

     

    Autour du film

     

    Outre Les Copains et Zazie dans le métro, deux « films chorales » où il partage l'affiche avec d'autres « rôles principaux », c'est avec ce film que Philippe Noiret incarne son premier rôle principal au cinéma, après des années de seconds rôles.
    Il s'agit du véritable premier rôle au cinéma pour Pierre Richard, qui collaborera plusieurs fois avec Yves Robert, réalisateur du film.
    La campagne autour du village d'Alluyes dans l'Eure-et-Loir accueillit le tournage du film.

     

    Alexandre le bienheureuxAlexandre le bienheureux

     

     

     

     

     

     

     

    Les travaux d'Alexandre

     

    Alexandre le bienheureux

     Alexandre le bienheureux

     

     

     

     

      

    Au billard du café

     

     

    Alexandre le bienheureux

    Citation

    Cette réplique est particulièrement représentative de l'état d'esprit d'Alexandre :
    « [À son chien] Bouge pas comme ça, tu me fatigues. Toujours dans mes jambes, toujours à me renifler, à pousser du museau, à faire le guet. Oui. Je bouge, tu dors couché en rond, je m'arrête pour attendre, te voila en arrêt à renifler le vent. Bouge pas comme ça, tu me fatigues, je te dis. Toi aussi, faut que tu remues, que tu cavales, mais qu'est-ce qu'ils ont tous ? On a le temps. Faut prendre son temps. Faut prendre le temps de prendre son temps. Comprends-tu ? Regarde-les, mais regarde-les donc : d'un bout du champ à l'autre, ils courent. Après quoi, je te le demande, hein ? Crevés comme moi, ils sont, le soir. Ils s'endorment fatigués et ils se réveillent plus fatigués encore. Et ça continue, et ça n'en finit pas de durer et d'être pareil. Pfff ! Y'a un moment, je sais pas, moi, mais je sais bien que c'est pas ça, quoi. Dis-donc, chien, paraît qu'on condamne des gars aux travaux forcés. Je connais ça, les travaux forcés, pourtant j'ai rien fait, moi. Bouge pas comme ça, tu me fatigues, puis tu me rappelles quelqu'un. Dis donc, tu as déjà regardé une fleur de carotte ? Eh, tiens, bah regarde ça, ben tu vois, c'est ça la vie. Tiens, je m'en roule une, puis je vais me la faire moi-même, puis je vais prendre le temps de me la faire, puis je vais prendre le temps de me la fumer, puis je vais prendre le temps d'en profiter, et puis je vais prendre le temps...(bâillement)... »

     

     

    Alexandre le bienheureux

     

    La belle Agathe

      

    Alexandre le bienheureux

    Alexandre le bienheureux

     

     

     

     

     

     

     

    Rêveries d'Alexandre

     

     

    Planter de piquets



     

    billard et ramassage des potirons



     

    Grace mat et sieste



     

    Le commandot



     

    Le mariage




     

    Alexandre le bienheureux

     

     

    La noce en fuite et final

     

     

     

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