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Steve McQueen
Steve McQueen, né Terence Steven MacQueen le 24 mars 1930 à Beech Grove dans l'Indiana aux États-Unis, et mort le 7 novembre 1980 à Ciudad Juárez au Mexique, est un acteur, producteur, pilote automobile et pilote de moto américain.
Ses rôles d'anti-héros ont fait de lui une icône de la contre-culture. En 1974, il est la star de cinéma la mieux payée au monde.Biographie
Enfance, formation et débuts
Terence Steven MacQueen nait au Beech Grove Hospital (Indiana) le 24 mars 1930. Sa mère, Julia Crawford (1910-1965), âgée de 19 ans, est la fille de Victor Crawford et Lilliam Thomson, de Saint-Louis.
Enfant unique, il n'a pas connu son père, William McQueen, un pilote d'avion de voltige aérienne et ancien militaire de la Navy, qui disparaît six mois avant sa naissance, tandis que sa mère l'abandonne dans une ferme. Il est parti se faire élever par son oncle, à Slater dans le Missouri, dans la ferme appelée « Thomson Farm ». Son oncle, Claude W. Thomson (1857-1957), possédait quelque quarante vaches laitières.
À l'âge de douze ans, sa mère revient d'Indianapolis pour le reprendre, mais il ne lui pardonne pas de l'avoir délaissé. Il part vivre avec elle à Los Angeles. Adolescent incontrôlable, McQueen se mêle aux bandes de voyous de Los Angeles. Il quitte très tôt l'école et s'engage dans la marine marchande et voyage jusqu'en République dominicaine. Il revient aux États-Unis à Port Arthur au Texas. Après un passage chez son oncle à Slater, il part pour l'Ontario au Canada et il travaille une saison comme bûcheron. Il revient aux États-Unis et participe à un cirque itinérant.
En avril 1947, il rejoint les Marines à Myrtle Beach en Caroline du Sud, où il est pilote de tank et mécanicien dans la 2e division des Marines. Il arrive à New York en 1950 et s'installe à Greenwich Village, où il loue une chambre avec lavabo pour 19 dollars par mois. Il rencontre sa mère, qui a aussi emménagé à New York. Il travaille comme docker en journée et le soir il fait du porte à porte pour vendre des encyclopédies.
En 1952, il étudie à l'école HB Studio durant 2 ans, puis à l'Actors Studio de New York. Il fait ses débuts à Broadway en 1955, dans la pièce A Hatful of Rain. Il se marie avec Neile Adams en 1956. La même année, ils quittent New York pour Las Vegas, où sa femme trouve un emploi comme danseuse au casino Tropicana Las Vegas. Elle quitte le casino en 1958 et le couple part s'installer dans une maison à North Hollywood.
Le producteur de télévision Vincent M. Fennelly et l'agent artistique Abe Lastfogel le repèrent et lui font signer son premier contrat pour jouer dans une série appelée Trackdown.
Carrière cinématographique
En 1956, Steve McQueen tourne dans son premier film, Marqué par la haine, sous la direction de Robert Wise. Sa figuration étant peu importante, il n'apparaît pas au générique.
À la fin des années 1950, il obtient le rôle du chasseur de primes dans l'Ouest américain Josh Randall, dans la série télévisée Au nom de la loi, armé d'une carabine Winchester modèle 1892 à crosse et canon sciés. Il jouera au total dans 94 épisodes pour trois saisons, de 1958 à 1961. En peu de temps, il devient grâce à cette série l'une des figures les plus connues d'Amérique.
En 1958, il obtient le premier rôle majeur de sa carrière cinématographique avec Danger planétaire. Dans les années 1960, il tourne à plusieurs reprises avec John Sturges, d'abord dans La Proie des vautours en 1959, qui le révèle auprès des cinéphiles. Il fait surtout partie du casting du film Les Sept Mercenaires aux côtés de Yul Brynner, Charles Bronson et James Coburn en 1960. À ce sujet, il a dû simuler un accident de voiture afin de se libérer du tournage de la série Au nom de la loi, pour jouer dans Les Sept Mercenaires.
En 1963, il retrouve encore John Sturges à l'occasion de La Grande Évasion (The Great Escape), dans lequel il suggère lui-même l'idée de l'évasion à moto. McQueen participe à L'Enfer est pour les héros avant d'accepter de tourner dans Une certaine rencontre de Robert Mulligan en 1963 où il côtoie l'héroïne de La Fureur de Vivre, Nathalie Wood.
Joueur averti, Steve McQueen est ensuite Le Kid de Cincinnati en 1965, pour sa première collaboration avec Norman Jewison avant de retrouver le réalisateur de ses débuts, Robert Wise, dans La Canonnière du Yang-Tse en 1966. Le film, un drame d'aventure se déroulant dans la Chine des années 1920, est tourné en partie à Hong-Kong et Taiwan. La Canonnière du Yang-Tse est en lice pour huit Oscars et son rôle vaut à McQueen une nomination pour l'Oscar du meilleur acteur en 1967.
En 1968, Steve McQueen tourne deux de ses films les plus célèbres : L'Affaire Thomas Crown, pour lequel il retrouve à nouveau Norman Jewison, et Bullitt de Peter Yates, film qui contient une séquence de poursuite automobile qui fera époque. Par la suite, McQueen tente de lier son amour pour la vitesse et les courses automobiles avec le cinéma. Il s'était déjà proposé à John Frankenheimer pour avoir un rôle dans Grand Prix mais Frankenheimer refusa en déclarant qu'il souhaitait mettre en avant le spectacle automobile et non un acteur. McQueen décide alors de réaliser un film sur le sport automobile, Day of a Champion, un projet qui ne vit jamais le jour car les producteurs trouvèrent le scénario de Tom Purdy, critique automobile de Playboy, trop léger et aussi à la suite de quelques ennuis de santé durant le tournage de La Canonnière du Yang-Tse. De ce projet avorté naitra Le Mans en 1971.
Le tournage du film Le Mans s'avéra éprouvant et démoralisant aux yeux de l'acteur, puisqu'il y fut privé, à cause de la colère des assureurs du film, d'une participation aux vraies 24 Heures du Mans, pourtant raison principale de sa venue en France pour tourner le film : il voulait, à l'origine, participer réellement aux 24 heures du Mans et inclure des images et séquences de la vraie course dans le film.
En 1971, il co-produit, via sa société Solar production, le film culte sur le sport motocycliste, On Any Sunday (en) (Challenge one en France).
Durant les années 1970, il est l'acteur le mieux payé de tout le show-business et tourne dans des films importants. Il tourne coup sur coup deux films sous la direction de Sam Peckinpah. D'abord Junior Bonner, une comédie dramatique dans laquelle il incarne un champion de rodéo, puis Guet-apens (The Getaway), un polar assez violent. C'est pendant le tournage de ce dernier film qu'il rencontre Ali McGraw, qu'il épouse en secondes noces. On le voit aussi dans Papillon de Franklin J. Schaffner en 1973, une adaptation du célèbre récit auto-biographique d'Henri Charrière dont le rôle est tenu par McQueen et La Tour infernale (The Towering Inferno) en 1974, sous la direction de John Guillermin.
La Tour infernale est un immense succès commercial. Ce sera aussi le dernier film de McQueen à avoir un réel impact. Après La Tour infernale, l'image de McQueen change. Il prend du poids, porte la barbe et la rumeur décrit de supposés problèmes de toxicomanie. Il est en fait rongé par un cancer des poumons. Il tourne son dernier film, Le Chasseur, en 1980.
Maladie et décès
Steve McQueen sait qu'il est malade depuis une visite médicale en 1978. Son cancer des poumons se généralise. Aux États-Unis, ses médecins refusaient de l'opérer, craignant pour son cœur, déjà bien fragile.
Contre l'avis de ces derniers, il décide de partir pour le Mexique afin de se faire opérer. Cette opération est controversée et vise à lui ôter un mésothéliome. Après trois longues heures d'opération, il ressort apparemment en bonne santé ; il est faible mais l'opération semble couronnée de succès. Cependant, un jour après l'opération, il décède d'un arrêt cardiaque dans la nuit du 7 novembre 1980 à Ciudad Juárez au Mexique, dans son sommeil.
Vie privée
Steve McQueen a la réputation d'être un séducteur et sa femme, Neile Adams, le laisse faire ; mais, lorsque sa liaison avec l'actrice Barbara Leigh (en) apparaît au grand jour, Neile l'accepte difficilement et leur mariage bat de l'aile. Lorsque McQueen pense que sa femme le trompe, elle lui confirme sa courte liaison avec un acteur. Il devient de plus en plus paranoïaque et finalement, Neile demande le divorce en 1972. De leur union sont nés deux enfants : une fille, Terry Leslie (née le 5 juin 1959, décédée le 19 mars 1998) et un garçon, Chad McQueen (né le 28 décembre 1960). Il est le grand-père de Steven R. McQueen qui joue le rôle de Jérémy Gilbert dans la série télévisée Vampire Diaries.
En 1972, McQueen entame le tournage du film Guet-apens (The Getaway), durant lequel il rencontre l'actrice Ali MacGraw, qu'il épouse le 31 août 1973. Mais sa paranoïa grandit de plus en plus et ses addictions prennent une grande place dans sa vie, malgré son désir d'arrêter. Bien qu'il aime son épouse, Ali, il ne cesse de cumuler les liaisons et a une aventure plutôt sérieuse avec le mannequin Barbara Minty (en). Il se sépare d'Ali MacGraw, avec laquelle il a signé un contrat de mariage ne prévoyant pas de versement d'argent en cas de divorce. Aussitôt après le départ de sa seconde épouse, il installe la jeune Barbara chez lui. Elle deviendra sa troisième et dernière épouse.
Steve McQueen effectuait deux heures d'exercice quotidien, incluant de l'haltérophilie et un footing de cinq miles, et cela sept jours par semaine. McQueen apprit aussi le Tang Soo Do, un art martial de Pat E. Johnson, ceinture noire neuvième dan, et fut l'ami de Bruce Lee qui lui enseigna le Jeet Kune Do. Cependant, il était aussi connu pour son usage abusif de drogues (William Claxton déclara qu'il fumait de la marijuana presque tous les jours, d'autres disent qu'il sniffait de la cocaïne depuis le début des années 1970). De plus, comme beaucoup d'acteurs de cette époque, il était un très gros fumeur. Il buvait parfois avec excès, et il fut arrêté pour conduite en état d'ivresse à Anchorage en Alaska en 1972.
Steve McQueen était un ami de Sharon Tate et Jay Sebring (en). Apprenant leur assassinat le 9 août 1969 par des membres de la « famille » de Charles Manson, McQueen est sous le choc, d'autant plus que son nom figurait sur la liste noire de Manson. Il achète des armes pour protéger Neile et leurs enfants, devient méfiant, la prise de drogue le rendant paranoïaque.
Ami proche de Bruce Lee, lorsque ce dernier décède en 1973, McQueen porte son cercueil avec James Coburn, Robert Lee (en), Taky Kimura et Dan Inosanto.
Collectionneur
Steve McQueen a collectionné durant vingt-cinq ans toutes sortes d'objets, allant de motos à des jouets d'enfants, en passant par des armes, des affiches, des photos et des vêtements.
Le 11 novembre 2006, cette collection est dispersée par sa veuve, Barbara McQueen Brunsvold. La vente, organisée par Bonhams & Butterfield, se composait de 216 lots, dont la paire de lunettes de soleil Persol que l'acteur portait dans le film L'Affaire Thomas Crown, adjugée à 70 200 $. Il y avait aussi la carabine Winchester modèle 1892 de Au nom de la loi, adjugée à 2 016 $, sa collection de motos Indian, dont la Powerplus Daytona de 1920, adjugée à 150 000 $, le script de Tom Horn gravé à son nom, adjugé à 35 100 $ et un couteau gravé « To Steve from Dutch », adjugé à 38 025 $. Pour ce dernier, le donateur n'est autre que Von Dutch, alias Kenny Howard (en), un artiste peintre, père de la Kustom Kulture.
Sports mécaniques
Steve McQueen était un grand amateur de sports mécaniques et réalisa lui-même plusieurs cascades dans ses films. C'est cette passion qui est à l'origine du film Le Mans. Il possédait d'ailleurs une collection privée composée des plus grandes voitures sportives de son époque.
Dès 1962, sa présence est signalée dans des courses californiennes organisées sous l'égide du Sports Car Club of America (SCCA), notamment à Laguna Seca, au volant d'une monoplace Cooper T56 (aussi appelée MKII FJ).
En 1970, lors des 12 heures de Sebring, il pilote une Porsche 908 en compagnie de Peter Revson. Après avoir mené la course pendant un temps, ils arrivent en deuxième position, 23 secondes après la Ferrari 512 S de Mario Andretti. Steve McQueen participe à cette course avec une jambe dans le plâtre, à la suite d'un accident de moto survenu deux semaines auparavant.
Également pilote moto, il dispute de nombreuses courses de désert de type « Baja » dans les années 1960 avant d'être sélectionné par la fédération américaine pour faire partie du « team USA » aux championnat du monde d'enduro par équipes, les ISDT (International Six Days of Trial), en 1964. L'équipe est composée de son ami Bud Ekins, le cascadeur qui réalisa le saut à moto dans le film La grande évasion, son jeune frère, Dave Ekins et Cliff Coleman. L'épreuve se déroule à Erfurt, en Allemagne de l'Est et attire un grand nombre de reporters du monde entier, du fait de la présence de McQueen derrière le « rideau de fer ». Au guidon d'une Triumph de 650 cm³, il abandonnera le 4e jour, à la suite d'une violente chute.
Au début des années 1970, il participe à diverses courses, tel le « Elsinore Grand-Prix », au guidon d'une Husqvarna 400 cm3, à moteur 2 temps, aux côtés de ses amis Malcom Smith et Mert Lawwill, des pilotes de très haut niveau qui participeront avec lui au tournage de On any Sunday. On le verra ensuite dans une publicité pour la nouvelle Honda Elsinore de moto-cross, moto qu'il n'utilisera pas en compétition. À cette époque, les sociétés de production du cinéma lui interdisent de s'inscrire à des compétitions de sports mécaniques, il utilise alors une identité d'emprunt pour y participer, celle de « Harvey Mushman », mais ce qui n'empêchera pas les journalistes d'en informer le grand public.
Filmographie
1953 Girl on the Run (en) - d'Arthur J. Beckhard et Joseph Lee - Figuration
1956 Marqué par la haine - de Robert Wise - Fidel
1958 Danger planétaire - de Irvin S. et Yeaworth Jr. - Steve Andrews
1958 Rackets à New York - de Robert Stevens - Martin Cabell
1959 Hold-up en 120 secondes - de Charles Guggenheim - George Fowler
1959 La Proie des vautours - de John Sturges - Caporal Bill Ringa
1960 Les Sept Mercenaires - de John Sturges - Vin
1961 Branle-bas au casino - de Richard Thorpe - Lieutenant Fergie Howard
1962 L'enfer est pour les héros - de Don Siegel - Soldat John Reese
1962 L'Homme qui aimait la guerre - de Philip Leacock - Capitaine Buzz Rickson
1963 La Grande Évasion - de John Sturges - Capitaine Virgil Hilts « le Roi du Frigo »
1963 Une certaine rencontre - de Robert Mulligan - Rocky Papasano
1963 La Dernière Bagarre - de Ralph Nelson - Sergent Eustis Clay
1965 Le Sillage de la violence - de Robert Mulligan - Henry Thomas
1965 Le Kid de Cincinnati - de Norman Jewison - Eric Stoner, le Kid
1966 Nevada Smith - de Henry Hathaway - Max Sand / Nevada Smith
1966 La Canonnière du Yang-Tse - de Robert Wise - Jake Holman
1968 L'Affaire Thomas Crown - de Norman Jewison - Thomas Crown
1968 Bullitt - de Peter Yates - Lieutenant Frank Bullitt
1969 Reivers - de Mark Rydell - Boon Hogganbeck
1971 Le Mans - de Lee H. Katzin - Michael Delaney
1972 Junior Bonner, le dernier bagarreur - de Sam Peckinpah - Junior Bonner
1972 Guet-apen - de Sam Peckinpah - Carter « Doc » McCoy
1973 Papillon - de Franklin J. Schaffner - Henri « Papillon » Charrière
1974 La Tour infernale - de John Guillermin et Irwin Allen - Michael O'Hallorhan, le colonel des pompiers
1978 Un ennemi du peuple - de George Schaefer - Docteur Thomas Stockman
1980 Tom Horn - de William Wiard - Tom Horn
1980 Le Chasseur - de Buzz Kulik - Ralph « Papa » ThorsonTélévision
1952 : Affaire de Famille
1955 : Goodyear Television Playhouse (Série TV)
1955 : Armstrong Circle Theatre (Série TV)
1955 : Playwright 56 (Serie TV)
1956 : The United States Steel Hour (Série TV) : Bushy
1956 : Matinée Theatre (Série TV)
1957 : Studio One (Série TV) : Joseph Gordon
1957 : The big Story (Série TV)
1957 : West Point (en) (Série TV)
1957 : The 20th Century-Fox Hour (Série TV) : Kinsella
1958 : Trackdown (Série TV) : Josh Randall - Bounty Hunter
1958 : Tales of Wells Fargo (Série TV) : Bill Longley
1958 : Climax! (Série TV) : Anthony Reeves / Henry Reeves
1958-1961 : Au nom de la loi (Wanted: Dead or Alive) (Série TV) : Josh Randall
1959-1960 : Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock presents) (Série TV) : Gambler / Bill Everett
1971 : Challenge one (One any sunday)
1976 : Dixie Dynamite
Producteur
1978 : Un ennemi du peuple (An Enemy of the People)
1980 : Tom HornDistinctions et hommages
Oscars
Nomination pour l'Oscar du meilleur acteur en 1967.
Hommages posthumes
* Sheryl Crow écrit une chanson dont le titre est Steve McQueen. Dans le clip, on peut voir apparaître l'étoile de McQueen sur le Walk of Fame à Hollywood.
* En 1999, son nom est ajouté au Motorcycle Hall of Fame de l’American Motorcyclist Association (en) (AMA)10.
Le groupe pop britannique Prefab Sprout donne le nom de l'acteur à son second album, sorti en 1985. Aux États-Unis, un conflit avec les héritiers de l'acteur empêcha que cet album soit publié sous ce nom.
* En 2005, la marque d'horlogerie de référence en sport automobile TAG Heuer lui rend hommage avec une édition collector de son chronographe « TAG Heuer Monaco », que le pilote aura grandement contribué à rendre célèbre.
* En 2008, le groupe The Automatic donne le nom de Steve McQueen à une de ses chansons.
* En 2010, la marque de vêtements anglaise Barbour réédite la veste International portée par McQueen lors des ISDT 1964
(en) pour commémorer les soixante-quinze ans de ce modèle. La distribution est limitée à 75 vestes par pays.
*La marque d'équipements moto Troy Lee Designs (TLD) édite depuis 2011 des casques de moto avec une décoration rendant
hommage à Steve McQueen. Elle édite également depuis 2012 une ligne de vêtements à l'effigie de l'acteur.
*En 2011, le groupe M83 écrit une chanson intitulée Steve McQueen, laquelle apparaît sur l'album Hurry Up, We're Dreaming, sorti en octobre 2011.
* En 2012, la marque anglaise de motos Triumph sort une série limitée à 1 100 exemplaires de la « Bonneville Steve McQueen
», une réplique moderne des motos qu'il utilisait dans les courses de désert des années 1960. La marque anglaise réédite
également des tee-shirt comme ceux portés lors de ces courses.
* Le personnage Flash McQueen du film Cars et Cars 2 est un hommage à l'acteur pour ses courses automobiles, mais pas tout
à fait. Les bonus du Dvd Cars indiquent le nom du personnage comme une double référence ; Son nom, McQueen est un hommage rendu à Glenn McQueen, un animateur de Pixar décédé en 2002, et une référence à Steve McQueen, dont une des grandes passions était la course automobile.
* Dans 2 Fast 2 Furious (2003 au cinéma), Brian O' Conner, le personnage principal du film, est surnommé « Bullitt » par ses
amis en raison de ses aptitudes et de sa dextérité à conduire sa voiture lors de rodéos urbains.
* Steve McQueen: The Man & Le Mans (en), film documentaire de Gabriel Clarke et John McKenna, sorti le 4 novembre 2015
France.
* La marque de moto Husqvarna Motorcycles a également surfé sur la notoriété de Steve McQueen, en éditant quelques
vêtements à l'effigie de la star, ce dernier ayant roulé sous les couleurs « suédoises » au début des années 1970, dont un
tee-shirt rappelant qu'il roulait sous la fausse identité de Harvey Mushman, lors de courses de motos.
* La marque américaine de casques Bell a également réédité deux modèles de casques utilisés par l'acteur, notamment celui aux couleurs de l'équipe des USA, porté par McQueen lors des ISDT 1964.Voix françaises
En France, Jacques Thébault a été la voix française régulière de Steve McQueen. Il y a également de manière occasionnelle Marc Cassot qui l'a doublé à trois reprises.
Ref : Wikipédia
Sheryl Crow - Steve McQueen
Tags : Steve McQueen, 1930, 1980, acteur, 1974, star, Les Sept Mercenaires, Oscars, Oscar, 1967, La Grande Évasion, Bullitt, Le Mans, Papillon, 1968
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Commentaires
Bonjour Georges, cet article sur Steve McQueen est très intéressant. Complet et bien détaillé, j'ai appris beaucoup de choses sur cet excellent acteur. Je l'ai revu dernièrement sur la n'ième diffusion des 7 mercenaires. Un chef d'oeuvre du western. Un très grand acteur qui a également marqué notre jeunesse avec sa série télévisée "Au nom de la loi".
J'espère que tout va bien pour toi.à bientôt.